
Pour limiter la prolifération de la population de rats, des actions préventives et curatives doivent être mises en place aussi bien par les autorités compétentes que par les citoyens. On fait le point.
La dératisation est donc l’affaire de tous !
Des gestes simples pour les propriétaires et locataires :
- boucher les accès vers les caves, vides sanitaires et bâtiments ;
- maintenir en bon état la partie privative du réseau d’assainissement ;
- supprimer l’accès à la nourriture en ne laissant pas de déchets ni d’aliments dans les jardins ou parties communes ;
- éliminer les rats dans les parties privatives (jardins, bâtiments) en installant des pièges ou en déposant des appâts.
Pour les communes, il s’agit de :
- limiter l’accès à la nourriture sur la voirie et les divers espaces publics ou privés ;
- programmer des interventions et l’entretien nécessaire pour empêcher l’accès au patrimoine communal (caves, parties privatives des réseaux, vides sanitaires) ;
- maintenir la bonne étanchéité des réseaux pluviaux ;
- dératiser régulièrement les berges caniveaux, terrains vagues et bâtiments communaux.
Le gestionnaire du réseau d’assainissement
Suez, via la société dédiée L’Eau de Béziers Méditerranée se charge quant à lui de :- réguler la population de rats transitant dans les réseaux d’eaux usées grâce aux pièges télé-surveillés.
L’Agglo est compétente pour :
- maintenir la bonne étanchéité des réseaux : elle renouvelle 0,8 % du linéaire chaque année et en fait curer 10 % par Suez dans le cadre de son contrat.
On résume en images :
